En quelques mots ... « En Suisse on peut licencier très facilement, comme on peut embaucher facilement, mais on n’est pas du tout dans la configuration française, où les entreprises peuvent garder le personnel. Donc il est évident qu’un certain nombre de salariés, dont des frontaliers, ont perdu leur emploi, particulièrement dans les secteurs de l’hôtellerie et la restauration. » annonce Jean-François Besson, secrétaire général du Groupement Transfrontalier Européen à Annemasse. Propos recueillis par Jean-Paul Crespi. Les vidéos de ce JT Coronavirus : quelles conséquences pour les travailleurs frontaliers ?